DEATH STRANDING

La factrice qui communique avec l'au-delà

Death Stranding est un OVNI dans le paysage vidéoludique. Un jeu d’horreur et de science-fiction né de l’imagination d’un homme qui adore vous rappeler son nom un peu partout. Un jeu de livraison, qui distille son histoire parfois subtilement, parfois à coup de cinématiques de 2 heures. Hideo Kojima vous y raconte l’importance du lien entre les êtres humains, en vous isolant de tout ou presque. On aime, ou on n’aime pas. Moi, j’ai adoré.

Moi en costume de Death Stranding sur une plage islandaise, tenant mon Bridge Baby en l'air Une capture d'écran de Death Stranding montrant Sam dans la même pose que moi en cosplay

Ma fascination pour l’Islande ne date pas de ce jeu. Entre les cosplays, j’ai aussi fait un peu de reconstitution Viking. C’est ainsi que je me suis documentée sur l’histoire de la colonisation de cette île éloignée de tout. Y aller était un rêve de longue date. Death Stranding m’a permis d’y allier mon passe-temps favori : être en costume dans les « vrais » décors d’un jeu.

Car si Death Stranding raconte l’histoire d’une Amérique fracturée, son inspiration visuelle et sonore vient directement d’un voyage effectué en Islande. Il y entend la musique de Low Roar, qui constituera une grande partie de la bande-son du jeu. Et il parcourt des paysages uniques, que l’on reconnaît bien dans chaque biome de Death Stranding.

EN ISLANDE

AILLEURS

Ce costume a été mentionné dans la publication de septembre 2024 du #DSCommunityShowcase de 505 Games, et partagé par Hideo Kojima himself sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas rien, pour l’amateure que je suis !